-
Il suffit d’en décider
La liberté précède, on ne court pas après
Le chemin est en nous
Tantôt il nous lève bien haut
Tantôt il nous fait fouiller là où nous errons encore.
L’écriture a participé de tout cela
En solitaire et dans son partage
Elle a rempli son rôle et je ne peux que remercier
De cet outil qui m'a été donné
Non comme un talent, mais bien comme un outil.
votre commentaire -
Un jour j’ai reçu une carte, une barque sur un étang
Vide la barque, désert l’étang …
La légende disait :
« On ne quitte pas l’embarcation dans laquelle dieu nous a mis »
Reproche, même pas déguisé, pour avoir quitté la grappe, je devrais dire le grenier, je viens du plat pays, grenier à blé de la France, la Beauce...
Verte fut ma réponse :
« Dieu que vous dites notre père à tous, serait-t-il assez fou pour mettre ses enfants dans un si beau jardin tout en leur interdisant de le découvrir ? »
Aujourd’hui je sais derrière la critique, la souffrance
Qui ne peut se dire, d’avoir vu partir…
Que partir cela parle de la mort, et que la mort !!!
Ce qu'ils peuvent en avoir peur de retrouver leur dieu là-haut.
Mais aussi, cette barque glisse sans bruit
Elle n’est plus d’un pays, d’une famille
Elle porte le nom de «Chemin de vie »
Aucun dieu ne décide de cela, cela se fait.
Dans la paix du soir, voir prendre fin
Ce qui faisait écartèlement entre ici et là-bas
Je suis cela, qui entend le souffle du monde
Des évidences, dans la nature, dans la voix de l’ami
Et qui marche encore dans le monde des lamentations.
votre commentaire -
Je t'ai aimé à la hauteur de ce besoin en moi
De rencontrer
Je t'ai aimé à la hauteur de l'intensité de la flamme
Qui s'élève avec la kundalini...
Je t'aime et c'est intemporel !
5 commentaires
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires