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Écoute…
Je sais ton silence qui est parole du cœur
J’écoute ta flûte qui parle de larges étendues.
La force qui m’habite
Faite de calme et de détermination
Est notre rencontre.
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Alors toi l'ami, quand tu me parles de l'ombre
Que personne ne comprend que tu ne désignes pas
Du doigt l'ombre projetée entre lumière et objet
Toi, pour sûr, je t'entends.
C'est une longue marche
Une gorge effilée entre deux montagnes abruptes
Pour le monde, toujours pour le monde
Autant que cela soit en conscience.
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Nous croyons que cela se passe
En, et pour, notre personne
C’est vue limitée que cela !
Il n’est question que de relation
En tout et partout.
Celle dans laquelle se dévoile
La totalité du mouvement en tout.
2 commentaires -
C'est à moi, sur ma rive, d'être dans ce travail
La relation véritable nous recentre
Impossible de faire pour l'autre
Ni imitation, ni soumission.
La liberté est totale, immédiate
Ou n'est pas.
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C'est bien la cohérence que j'ai reconnue en l'Ami
Même si je n'étais en mesure de la Voir d'une manière continue.
Ces mots, effet lumière défiant la raison dans son conditionnement
Une confiance absolue s'élevant peu à peu
Séparant le faux, du vrai.
C'est physique
Et cela s'accomplit d'instant en instant
En l'ami et c'est en moi.
Je t'ai vu descendre ce chemin de la montagne
T'approcher du pont
Je ne t'ai jamais vu le traverser ce pont.
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