• Auprès de toi...

    Mort des apparences.

     

    On est, qui on aime

    Pas qui nous aime

    Il y a longtemps

    Que j'ai compris cela

    Qui fait l'amour au-delà.

     

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  • Dans la marmite ? Nos rancœurs, nos regrets, notre arrogance pour la quête de perfection, ce qui juge, ce qui dit que…

    Et quand tout ça est tellement concentré, cristallisé, bloqué, une explosion, et alors l’amour qui se déverse à flots, la parole est amour.

    Mais il faut pouvoir porter ce regard clair, haut et fort, en toutes circonstances, sans trembler, sans défaillir.

    La compassion, tellement grande et envahissante, et la confiance, et l’abandon de toutes comparaisons.

     

    Sais-tu ce que je vois là ?

    La magie opère toujours, parfois elle ne produit pas ce que nous attendons et pourtant qui nous est utile.

    Cette nuit, j’ai eu une vision, très belle, de lumière, de joie, tu étais là, et plein de gens avec toi, ton rire clair comme cristal de roche. J’étais là aussi…

     

    Hé, l’ami, qu’est-ce qu’on sait de ce temps où l’on ne baisse plus la tête ?

    Qui dit ça ? Qui dit la tête levée, et la tête baissée ?

    Rire, mais est-ce que je t’ai dit que c’était toi dans ta peau de pensée ?

    Non, c’était toi, et un groupe de personnes, une vingtaine peut être, surtout des femmes et des enfants, quelques hommes seulement. Il y avait quelque chose de difficile à vivre, quelque chose de douloureux, mais qui n’offrait pas de choix, quelque chose qui te concernait, et tous le savaient, mais tous pourtant étaient joyeux, détendus, paisibles.

    Je ne faisais pas partie de ce groupe de proches, mais j’y avais ma place.

    Je m’accordais à ce mouvement, sans qu’il soit mien, j’étais témoin.

    On me parlait sans animosité, de la juste façon, celle qui me remplit d’aise, parce que je suis vue telle que je suis, et qu’alors belle je suis, et tous étaient beaux.

    Je faisais des choses différentes, et cela ne gênait personne, et je n’étais pas gênée de ma différence.

    Je n’étais pas du tout ton pôle d’intérêt, d’ailleurs tu allais en tête, et moi en queue de ce cortège qui fut ainsi formé pour aller où tu devais aller, toi. Tous t’accompagnaient, tous dans la joie paisible et toi aussi.

     

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  •  « C'est ton esprit qui fait cela »

     

    Oui, oui, c'est bien lui

    Qui chante ainsi

    En ondes vibratoires

    Rejoignant d'autres ondes

    Dans le grand océan.

     

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  • Cette écoute en toi

    Qu'aucune frontière

    Ne peut altérer

    Qui n'est pas à interpréter

    Qui n'est pas interprétable

    Elle est de chaque instant.

     

    Ce n'est pas une continuité

    Cela ne cesse

    De naître et mourir

    Et encore, neuf

    A chaque instant.

     

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  • Cette grande sensibilité à ce que les autres me font, quand je suis née, sans défense, ce fut terrible ! Consciente et sans défense, je n'aimais pas, mais alors je n'aimais pas ce qu'ils me faisaient qui finalement n'aura été que ce qu'ils voulaient me faire, parce qu'ils n'ont pas pu atteindre leur but. Je ne leur en veux pas, ils ne sont pas conscients de cela en eux. C'est bien pour ça qu'ils n'ont pas pu m'attraper, me changer, me conformer, et la souffrance, l'isolement, toutes ces incompréhensions, en moi, ont œuvré à toujours plus de conscience. C'est quelque chose !

    Ce n'est pas que je ferme ma porte, ce n'est pas que je les rejette, ce n'est pas que je les méprise, entre eux et moi, c'est un travail, conscience et inconscience se rencontrent.

    Si bien que la sensibilité qui m'a fait naître est devenue peu à peu sous le burin de ce travail, beauté du discernement, et là il n'y a plus de souffrance.

    Toi ?   De suite j'ai aimé ce que tu faisais en moi.

     

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  • Un homme solitaire n'est pas nécessairement un homme silencieux

    Un homme silencieux porte en lui une forme de solitude

    Pure comme un diamant

    Si tu as la chance d'être invité à pénétrer son antre

    C'est dans une grotte que tu entres

    Une grotte si étonnante...

     

    La voûte de roches et de terres

    De racines, d'arbres, de prairies

    De montagnes, d'océans, de déserts

    Et l'infinité du ciel.

     

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  • Il y a toujours eu la difficulté des mots

    L'enfant avait eu tant de mal à parler correctement

    Ce n'est pas qu'elle ne s'exprimait pas

    Elle le faisait en une langue méconnue de tous.

     

    Et puis découvrir que quoi qu'il en soit

    Malgré l'apparence d'un code commun

    Les mots ne s'entendent pas

    Chacun en ayant sa propre définition.

     

    Et même qu'au-delà des mots

    C'est chacun en soi, chacun pour soi

    Sans réelle communication

    Celle que l'enfant cherchait sans jamais trouver.

     

    Et voilà qu' elle a rencontré le souffleur de mots

    Dans son corps athanor

    Ils prennent forme

    Leur souffle d'au-delà du voile.

     

    Les entendre dans leur haut niveau vibratoire

    Ne fait pas savoir en parler

    Peut être même que cela est impossible

    Et dans le silence, se faire reproche.

     

    Alors, descendre plus profond

    Laisser agir, être le témoin qui s'efface

    Revient avec une poignée de sable fin

    Chaque grain qui glisse de la main

    Délivre son message de lumière.

     

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