• Quand je t'ai rencontré

    Dans cette confiance absolue

    Toi l'unique, le beau

    L'éternel ami

    Cela parlait juste de ce niveau

    Où les êtres communiquent.

     

    La confiance, la véritable confiance

    Est donc en lien avec un état

    De conscience plutôt éveillé.

     


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  • Cette maison est traversée par une ligne.

    De l'avant à l'arrière de cette maison deux mondes.

    La ligne, lorsque c'est l'esprit qui l'emprunte, et l'on ferait mieux de dire que c'est la ligne qui fait cela puisqu'il y aura eu un glissement. Tu es ici et tu n'y es plus, puis tu reviens. Tu ne le sais pas mais tu as emprunté une ligne, je les appelle les lignes de fuite, non seulement parce que l'effet est bien celui-là, mais aussi parce que dans nombres de situations perçues éminemment dangereuses, elles se présentent.

    Ce ne sont pas des tunnels, on ne se voit pas se déplacer en elles, on ne rencontre personne, on sait l'avant, l'après.

    Ce ne sont pas des portes, on ne se voit pas pénétrer une autre dimension, d'autres paysages, une autre condition de lumière, on sait l'avant, l'après.

    Pourtant dans cette maison, l'évidence que cette ligne, est aussi une porte entre deux mondes. 

     


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  •  Si cela appartient à la personne

    Dans son processus de nettoyage

    De grandissage, etc.

    Il n'y a rien d'autre à faire

    Que de respecter, se tenir à la juste distance

    On ne gagne rien à entrer dans le labyrinthe d'autrui

    Premier stade.

     

    Le deuxième est celui où la personne a compris

    A intégré certaines règles incontournables du sujet

    D'étude qui est le sien

    Elle ne se trompe pas, ne va pas au hasard, elle applique

    Au pied de la lettre un processus précis

    Le faisant elle témoigne de ce niveau de représentation

    Du vivant, ce niveau où cela communique.

     

    Il y en a un troisième qui n'appartient ni à l'horizontalité

    Ni à la verticalité, il est de la dynamique de la transversalité

    Celui-là tout en disant que cela n'est pas possible

    Par exemple la non-représentation, par exemple l'instant présent

    Par exemple le contact direct, par exemple la liberté absolue

    Celui-là avançant les pions dans sa démonstration de la négation

    Parle, agit, de cet espace, de ce non-lieu, de cela qu'il dit impossible.

     


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  • Ce que cela fait en moi, est là, si présent

    Vivant !

    Avant j'avais peur que cela disparaisse

    Peur de te déplaire, que tu fermes la porte

    Je te donnais un pouvoir que tu n'as pas

    A moins que je te le donne.

     

    Aucun ne peut mettre fin en l'autre

    De ce qui est de la circulation des énergies

    Et cela ne veut pas dire qu'il n'y soit pour rien

    Il a participé de cet éveil, bien avant

    En est l'acteur

    Principal.

     

     

    Ce que cela fait en moi ?

    Si je ne le vois pas, cela n'existe pas

    Si je ne peux exprimer de ce niveau

    C'est perdu

    Et pour les autres, et pour moi.

     

    Tout ce qui n'est pas partagé

    Offert à la multiplication

    Se perd, retourne à l'océan sans fond

    Inconscient.

     

    Onomatopées

    L'être ne s'est pas trompé 

    Pour la caresse, indescriptible

    Et ce n'est pas pudeur

    Rien ne se retient.

     

    Pas de mot

    Onomatopées chamboulées.

     


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  • De cette écriture en pleins et en déliés

    Il y a « j'aime », alors un objet d'amour et moi qui aime
    Cela offre toute liberté à autrui, étreint la plainte en moi
    Traverser les déserts, rester derrière les portes fermées
    Et les voici qui s'ouvrent, les portes, et les bras, et les mains
    « Oh ma joie, mon doux, mon ami » 
    Ne rien réclamer, toujours moins
    Il n'y a rien à redire puisque cela se fait, ce travail, en pleins et en déliés.

     

    Et puis, il y a l'amour

    État de liberté si grande en soi, plus d'objet, plus de sujet
    Indifférenciés, tout est lumière, au bout de laquelle est la vacuité.

     


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  • Alors... tu me parleras encore et encore de l'illusion

    Illusion d'aimer, illusion de voir, illusion de percevoir

    Que nous ne pouvons que l'illusion

    Tu me parleras encore de ce qui m'a fait pleurer si fort

    Au cœur de la nuit, que non ce n'est pas ça !

    C'est ce que tu disais.

     

    Je ne pleure plus

    Chaque jour plus forte

    Chaque jour plus droite

    Jouant avec les arrêtes de la forme illusoire

    Jouant avec les pleins et les déliés

    Jouant d'une manière absolument sérieuse

    Et toi, là, en moi, ineffaçable.

     


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  • Ils se sont élancés sur la piste dorée

    Ils glissaient sur la douceur d'un soir d'été

    Plus d'hier, plus de demain

    Élancés ils étaient, si beaux en vérité.

     


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