• L'amour est une énergie transformatrice si puissante.

    Qui prétend que le changement intervenant dans la chair

    La matière, soit quelque chose d'aisé ?

    Alors attendre l'amour consolateur

    Jamais, il ne fait cela !

    Consoler, c'est rester dans l'état

    Vieillir et puis mourir.

     

    L'amour c'est bien plus que cela.

     


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  •  Tu préférais ne pas être aimé

    J'ai toujours trouvé cela singulier

    Pas de chance, quoi qu'il se passe

    Je ne sais que t'aimer.

     


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  • A celui qui en pleine conscience

    Décide de s'effacer

    Non parce que la casserole serait pleine

    Mais parce qu'elle est vide.

     

    Que la paix soit avec toi

    En tous...

     

    Où est-il ?

    Mais où veux-tu qu'il soit ?

    Ne sais-tu pas, qu'il n'y a nulle part où aller...

     


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  • Je te vois, dans ces ébats

    Tu me diras que non

    Que c'est mon esprit

    Fantasque

    Fantasmes !

     

    Alors, je me moque

    Et de toi et de moi

    Ne restent que les ébats

    Synergie d'amour

    Transformatrice

    Au cœur de la matière.

     


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  •  La nuit, le chant de la nuit

    Il disait...

    Les gens ne savent pas, ils ne savent rien

    Il disait

    Elle,

    Des milliers de fois, elle l'avait perdu

    Dans la nuit, dans le jour aussi

    L'avait cherché, retrouvé et perdu encore

    Comme une folle qui ne sait pas renoncer

    C'est qu'elle savait

    Un nombre de fois nécessaires

    Et cela avait été réalisé

    Le nombre nécessaire

    En elle, l'empreinte indélébile

    Vibrante, vivante.

     

    S'arrêter, se poser

    C'est là, au creux

    C'est là

    De la terre, au ciel

    Le doux chant de l'aimé.

     

    Mon bel amour qu'on-t-il fait de toi ?

    Je vois des ombres autour de ta maison

    Elles grandissent, grandissent

    Lumière blafarde de la lune...

     


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  • Cette force en moi, c'est toi

    Et ça vois-tu c'est quelque chose !

    Parce que plus jamais je n'accepterai de la perdre

    Alors la laisser grandir, et dieu comme elle grandit !

    Alors naître et mourir d'instant en instant

    Apprendre de cette danse

    La beauté du vivant.

     

    Et cela vibre si fort

    En tellement d'intensité

    Que mourir se révèle dans sa nature profonde

    Qui est métamorphose

    Non à la manière de la chrysalide

    Ou alors c'est une métaphore

    Un autre monde qui prend pieds ici

    Et se déploie dans cet ailleurs

    Que l'homme ne voit pas

    Ne peut pas voir, attaché qu'il est

    A la forme, au connu, à la répétition

    Attachements toujours plus nombreux 

    Alors il ne veut pas !

    Il ne veut surtout pas VOIR.

     

    Mais toi, toi qui est la force en moi

    Je sais que tu VOIS.

     


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