• De la naissance

    Cette grande sensibilité à ce que les autres me font, quand je suis née, sans défense, ce fut terrible ! Consciente et sans défense, je n'aimais pas, mais alors je n'aimais pas ce qu'ils me faisaient qui finalement n'aura été que ce qu'ils voulaient me faire, parce qu'ils n'ont pas pu atteindre leur but. Je ne leur en veux pas, ils ne sont pas conscients de cela en eux. C'est bien pour ça qu'ils n'ont pas pu m'attraper, me changer, me conformer, et la souffrance, l'isolement, toutes ces incompréhensions, en moi, ont œuvré à toujours plus de conscience. C'est quelque chose !

    Ce n'est pas que je ferme ma porte, ce n'est pas que je les rejette, ce n'est pas que je les méprise, entre eux et moi, c'est un travail, conscience et inconscience se rencontrent.

    Si bien que la sensibilité qui m'a fait naître est devenue peu à peu sous le burin de ce travail, beauté du discernement, et là il n'y a plus de souffrance.

    Toi ?   De suite j'ai aimé ce que tu faisais en moi.

     

    Déjà publié ici

    « Athanor du souffleurEn toi, j'écoute »

    Tags Tags : , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :