• Ombre, tu es.

     Tu es l’ombre du bois

     Toi, qui vois qu’on ne peut prétendre

     Aucune vérité.

     

    Te rencontrer, c’est toucher la peur

    Dans le creux de son ventre

    La traverser, voir le mensonge

    Qui la fait.

     

    Non, je ne suis pas béate d’admiration

     La langue aiguisée ne saurait permettre cela

     Elle tranche

     

    « La cathédraleSouvenir, peur, amour »

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