Il sera impossible de manquer le rendez-vous de "Tout aimer de toi"

Certains crieront qu'ils ont encore à faire

D'autres qu'ils n'ont pas tout compris

D'autres encore que cela n'est pas possible

Et ceux qui diront qu'ils n'ont pas décidé

Certains pleureront : « Pourquoi m'as-tu abandonné ? »

On comprend, là, ces mots : « Heureux les simples d'esprit... »

Simple: ce qui n'est pas séparé en esprit.

Déjà publié ici

C'est une fenêtre qui s’ouvre…

Sur quoi ?

Je ne sais pas

Et pourtant tout est différent.

Émerveillement

Sans objet et sans cause

Apparents

Que tout se réjouit

Le monde est joie.

C’est donc que quelque chose

Faisait obstruction

Quelque chose qu'on ne voyait pas

Et pourtant si lourd et pesant.

Déjà publié ici

Imperceptibles mouvements

Tous les sens en même temps

En percent le secret.

Secret de haine, de joie

De gourmandise, de désir

De mépris...

La tienne je l'ai effleurée

Du bout du doigt

Ce sourire...

Déjà publié ici

Ces visages de toi ?

Je n'en vois plus qu'un seul

Transparence lumineuse

Doigts tissant

Les fils invisibles

Que c'est le monde qui partage-là.

Déjà partagé ici

L’amour qui naît

Dans une exclusivité sans limite

Parvient à la limite exclusive

Tout s’étouffe en ce resserrement.

Mais voilà que la porte s’ouvre

Pénétrer un paysage si vaste

Si profond, si vivant

Alors l’amour n’a plus un seul visage

L’amour, c’est tous les visages.

Avancer dans toute cette beauté

La jouissance est intense, on la dira "totale"

Il n’y a plus de visage

Ni un, ni des milliers.

Vous revenez...

Vous ne savez pas d’où

Peut être de cette absence à "moi-même"

Tout est calme, paisible

L’énergie est là, qui marche le plus souvent

Avec vous…

Ce monde de guerres, de mensonges, de peurs

Vous le redécouvrez avec acuité, en tellement d'étonnement

Comment est-ce possible ?

Au feu de cet amour, il ne restera rien de cette incohérence.

Déjà ici

Laisser s’insinuer, peu à peu, dans l’esprit conditionné

Le souffle de ce qui n’est pas conditionné

Lâcher, encore, l’émoi qui surgit...

Puis, au détour d'un chemin

Un lac, miroir, reflet si pur

Suspension en ton regard.

Déjà ici