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Parce que tu ne crains rien, enfin, pas plus que le temps nécessaire
Tu es le seul que je connaisse qui ne puisse faire défaut.
Te connaître, c’est toucher quelque chose d'au-delà de nos limitations
Je ne sais pas expliquer cela
Mais le vivre, toujours plus profondément
Un amour qui ne demande rien, ne promet rien, ne regrette rien
Une racine qui touche le ciel…
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Parce qu’ils n’ont retenu que l’expansion
Il leur a fallu, imaginer un dieu expirant
Ce monde, en un commencement et une fin
Dans la faille ils sont tombés.
Danse éternelle
L’amour ne sait pas nourrir les regrets
Il grandit à chaque pas décidé
Intention profonde
Toucher l’illimité
Dans cet éternel "expansion/concentration"
Naître et mourir.
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Auprès de toi...
Mort des apparences.
On est, qui on aime
Pas qui nous aime
Il y a longtemps
Que j'ai compris cela
Qui fait l'amour au-delà.
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Dans la marmite ? Nos rancœurs, nos regrets, notre arrogance pour la quête de perfection, ce qui juge, ce qui dit que…
Et quand tout ça est tellement concentré, cristallisé, bloqué, une explosion, et alors l’amour qui se déverse à flots, la parole est amour.
Mais il faut pouvoir porter ce regard clair, haut et fort, en toutes circonstances, sans trembler, sans défaillir.
La compassion, tellement grande et envahissante, et la confiance, et l’abandon de toutes comparaisons.
Sais-tu ce que je vois là ?
La magie opère toujours, parfois elle ne produit pas ce que nous attendons et pourtant qui nous est utile.
Cette nuit, j’ai eu une vision, très belle, de lumière, de joie, tu étais là, et plein de gens avec toi, ton rire clair comme cristal de roche. J’étais là aussi…
Hé, l’ami, qu’est-ce qu’on sait de ce temps où l’on ne baisse plus la tête ?
Qui dit ça ? Qui dit la tête levée, et la tête baissée ?
Rire, mais est-ce que je t’ai dit que c’était toi dans ta peau de pensée ?
Non, c’était toi, et un groupe de personnes, une vingtaine peut être, surtout des femmes et des enfants, quelques hommes seulement. Il y avait quelque chose de difficile à vivre, quelque chose de douloureux, mais qui n’offrait pas de choix, quelque chose qui te concernait, et tous le savaient, mais tous pourtant étaient joyeux, détendus, paisibles.
Je ne faisais pas partie de ce groupe de proches, mais j’y avais ma place.
Je m’accordais à ce mouvement, sans qu’il soit mien, j’étais témoin.
On me parlait sans animosité, de la juste façon, celle qui me remplit d’aise, parce que je suis vue telle que je suis, et qu’alors belle je suis, et tous étaient beaux.
Je faisais des choses différentes, et cela ne gênait personne, et je n’étais pas gênée de ma différence.
Je n’étais pas du tout ton pôle d’intérêt, d’ailleurs tu allais en tête, et moi en queue de ce cortège qui fut ainsi formé pour aller où tu devais aller, toi. Tous t’accompagnaient, tous dans la joie paisible et toi aussi.
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« C'est ton esprit qui fait cela »
Oui, oui, c'est bien lui
Qui chante ainsi
En ondes vibratoires
Rejoignant d'autres ondes
Dans le grand océan.
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Cette écoute en toi
Qu'aucune frontière
Ne peut altérer
Qui n'est pas à interpréter
Qui n'est pas interprétable
Elle est de chaque instant.
Ce n'est pas une continuité
Cela ne cesse
De naître et mourir
Et encore, neuf
A chaque instant.
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Cette grande sensibilité à ce que les autres me font, quand je suis née, sans défense, ce fut terrible ! Consciente et sans défense, je n'aimais pas, mais alors je n'aimais pas ce qu'ils me faisaient qui finalement n'aura été que ce qu'ils voulaient me faire, parce qu'ils n'ont pas pu atteindre leur but. Je ne leur en veux pas, ils ne sont pas conscients de cela en eux. C'est bien pour ça qu'ils n'ont pas pu m'attraper, me changer, me conformer, et la souffrance, l'isolement, toutes ces incompréhensions, en moi, ont œuvré à toujours plus de conscience. C'est quelque chose !
Ce n'est pas que je ferme ma porte, ce n'est pas que je les rejette, ce n'est pas que je les méprise, entre eux et moi, c'est un travail, conscience et inconscience se rencontrent.
Si bien que la sensibilité qui m'a fait naître est devenue peu à peu sous le burin de ce travail, beauté du discernement, et là il n'y a plus de souffrance.
Toi ? De suite j'ai aimé ce que tu faisais en moi.
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